Dans la hiérarchie céleste, Marche-à-Terre n’est certes pas un ange de haut niveau.
À peine un fantassin. Condamné à errer sur terre pour racheter l’âme de l’homme dont il était le gardien, il est aux premières loges pour assister à la série de meurtres qu’entraînent, en terre angevine, les consignes liturgiques de Vatican II. Mais ni les calices empoisonnés, ni le serial-killer qui se cache sous les cornettes dans un pensionnat de jeunes filles en folie, n’entament la sérénité de Marche-à-Terre.
Il est bien placé pour savoir que le meurtre et la religion font souvent bon ménage.
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